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Dès que l'homme a été conscient, il s'est probablement soucié de son devenir après la mort (les homos erectus ou habilis enterraient-ils leurs morts ?) et de son origine. Les manières dont les hommes ont imaginé un (ou des) créateur sont variées selon les civilisations.

L'idée de dieu absente du bouddhisme qui ne se pose pas (ou ne veut pas se poser) ou esquive les questions de la cause première (ce qui n'empêche qu'elle se pose) et conçoit la fin dernière comme la libéralisation de toute sensation (le nirvana). Le bouddhisme envisage un temps cyclique qui n'est pas compatible avec la flèche du temps constatée par la science … jusqu'à nouvel ordre.

Des dieux cause des catastrophes (orages, sécheresse, …) ou sécurisant (arbres, totem, … ) chez des peuples primitifs.

Des dieux à l'image des hommes chez les grecs ou les romains, voire les hindous (mais sous une forme plus caricaturale).

Un Dieu unique et transcendant depuis Abraham chez les juifs et les chrétiens (mais sous une forme trinitaire) puis pour l'islam.

Un homme à l'image d'un Dieu incarné en sapiens pour les chrétiens … peut-on imaginer un néo-sapiens plus évolué dépassant le Dieu fait homme ? Mais l'homme du XXI n'est-il pas déjà assez différent de celui des premiers homos : l'évolution continue ?